Afin de compenser l’absence de règlementation française et européenne concernant la qualification de l’argile, il est important de :
1– Connaître l’origine de l’argile utilisée : carrière en pleine nature ou carrière souterraine en France ou à l’étranger ?
=> Argile du Velay exploite une carrière classée ZNIEFF (zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique) à ciel ouvert, aux pieds des volcans d’Auvergne, loin de toute pollution industrielle.
2 – S’assurer de la pureté minéralogique, certaines « argiles » présentes sur le marché ont une proportion d’argile comprise entre 30 et 50% le reste étant des impuretés (quartz, sable, carbonates et autres minéraux.). L’intérêt de l’effet recherché est moindre avec si peu d’argile.
=>80 % d’argile contenue dans l’argile verte du Velay, garantie sans quartz, naturellement riche en oligo-éléments.
3 – S’informer de l’existence d’impuretés chimiques : dioxines et PCB proches de zéro ; aucun traitement chimique (ionisation, ajout de pigments, etc.) ; absence de pesticides dans l’argile.
4- Argiles labélisées par référentiel naturel type Ecocert intrant en Agriculture Bio, Ecocert Cosmos en cométique ou encore Feed Chain Alliance pour l’alimentation animale.